Les membres du XVDSI et des clients d’Oracle étaient en visite lundi dernier à Linlithgow près d’Edimbourg pour une demi-journée sur le cloud d’Oracle. Le dimanche, comme de nombreux supporteurs français qui avaient fait le déplacement en Ecosse, ils ont également assisté à la défaite inattendue à Murrayfield de l’équipe de Fabien Galthié.
Laurent Cabannes, le parrain sportif du XVDSI et ancien international nous avait pourtant prévenu le matin du match. « C’est un match piège en dépit des bonnes statistiques du XV de France car la France se retrouve dans une position de favori avec de futurs adversaires qui chercheront à la déstabiliser ». Il a eu raison au regard du résultat de la rencontre (victoire de l’Ecosse 28-17) et du déroulé du match . Ce qui a fait dire à l’un des participants du séminaire organisé le lendemain par Oracle que le logiciel de l’équipe de France avait encore besoin d’auto-apprentissage ( lisez Machine Learning… ) pour les saisons à venir.
Oracle a donc profité de ce match du Tournoi des six nations pour organiser une demi-journée de présentation sur les trois sujets cloud du moment : la puissance du cloud, les données et les gains associés aux récentes avancées d’Oracle dans la maîtrise de ces nouvelles architectures. La présentation était assurée par Ludovic Sorriaux, Senior Cloud Architecte EMEA qui est revenu sur les grandes caractéristiques techniques du cloud actuel d’Oracle. Tout d’abord la puissance liée notamment à sa gamme Exadata avec notamment la gamme X8M dotée d’une puissance de 1,5TB et de 100GB. Mais aussi aux avancées effectuées en matière de données avec Autonomous et de disponibilité cloud avec Exadata Cloud At Customers. A noter également qu’en terme de disponibilité pour certaines applications, le partenariat entre Oracle et Azure permet aux clients d’Oracle, grâce à la fédération des identités et de l’interconnexion des réseaux, d’étendre assez facilement les capacités cloud au niveau mondial.
De leur coté, Samuel Noblot, Sales Manager Cloud Oracle et Denis Martin, Business Development Manager, sont revenus sur les aspects KPI du cloud. En prenant pour exemple le secteur bancaire et de l’énergie, ils ont cité plusieurs KPI. Ils ont présenté un cas client en phase de production avec une diminution significative des coûts de licence, des temps de traitements dans un facteur de deux à trois et surtout des KPI intéressants sur les temps de sauvegarde. « Ce qui est à l’ère d’une donnée réglementée de plus en plus volumineuse devenu un facteur de ROI substantiel » a souligné Samuel Noblot.